Ils parlent de nous

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Les 6@9 des Entrepreneurs (es) est un événement conçu pour favoriser la rencontre entre les jeunes entrepreneurs (es) et le public et favoriser ainsi la promotion de leurs produits et services.

Yolan Prestige toujours en quête d’innovation, a mis sur pied cette plate-forme qui verra le jour le vendredi 8 mars 2018 et sera le miroir promotionnel des entrepreneurs de tous bords.
Ce 6@9 sera le lieu de réseautage par excellence où l’entrepreneur aura la parole, s’invitera au débat, partagera sa vision de l’entreprenariat, ses défis, son adrénaline et fera la promotion de ses services et produits à travers les stands mis à disposition.

Publié le 08 février 2018 à 5h00

Lourdes condamnation pour avoir traité des Noirs de "Nègre"

Dans deux décisions complètement distinctes, le Tribunal des droits de la personne a accordé, au début de février, 4000 $ et 6500 $ à deux Montréalais qualifiés de « nègres » au cours d’altercations.

Marius Tchakounte Nyassa travaillait comme téléphoniste chez Bell lorsqu’il a été insulté par Serge Levasseur, un client insatisfait, en mars 2013. « Un autre maudit nègre qui ne comprend rien. Eh maudit que vous êtes fatigants », a asséné M. Levasseur.

Lucner St-Éloi, lui, était en guerre ouverte avec Normand Rivard, le propriétaire de son immeuble d’habitation, en avril 2015, lorsque celui-ci l’a appelé pour lui formuler des reproches. Après deux appels où M. St-Éloi a raccroché la ligne, son propriétaire a rappelé. Le locataire lui a dit se sentir harcelé et lui a affirmé qu’il ne voulait plus lui parler. « Va donc chier, tabarnak d’hostie de nègre sale », a répliqué le propriétaire.

C’est le juge Mario Gervais qui a rendu les deux décisions. Il a qualifié les propos de Serge Levasseur « d’intrinsèquement choquants » et ceux de Normand Rivard d’« outrageants ».

« En invoquant la couleur de la peau de la pire manière, M. Rivard a cherché intentionnellement à blesser, humilier et rabaisser M. St-Éloi et, a contrario, affirmer sa supériorité », a écrit Mario Gervais quant au second dossier.

Satisfaits

Les victimes insultées se sont dites satisfaites du jugement rendu en leur faveur. « C’est une bonne décision », a affirmé Lucner St-Éloi au téléphone. « Mon client se voit reconnaître comme victime par un tribunal qui reconnaît sa douleur », s’est félicité Me Willy Ndongo Nguele, au nom de M. Nyassa. Le juge Gervais décrit ce dernier comme « encore profondément affecté » par la situation

Lien vers l’article sur le site www.lapresse.ca

 

À l’heure d’écrire ces lignes, ce ne sont pas moins de 260 étudiants du Barreau mécontents qui ont signé une pétition en ligne afin de dénoncer l’examen de reprise du 8 juin dernier.

Les étudiants exigent que l’École du Barreau procède aux ajustements nécessaires dans sa correction de l’examen, et que les étudiants en échec malgré ces ajustements soient admis gratuitement aux évaluations de la session d’automne 2016.

Les étudiants n’hésitent pas à parler d’un mode d’évaluation perçu comme « aléatoire et injuste » qui pourrait déboucher sur un « profond ressentiment envers l’institution qui garde l’accès à la profession. »

Pour eux, il est clair qu’une telle situation « fait planer le spectre d’un contingentement qui n’ose pas dire son nom.»

Selon eux, cette deuxième partie des examens de reprise de l’École du Barreau « laisse perplexe quant à son caractère réalisable ». En effet, nombre d’entre eux considèrent que cette évaluation n’était pas représentative de leurs connaissances.

Mise en situation « ambiguë »

La section de l’examen portant sur le droit des affaires, totalisant 20% de la note, est particulièrement visée. Selon les signataires de la pétition, la mise en situation « minimaliste, voire ambiguë » exigeait un exercice « extrêmement pointu » qui ne représentait en rien les notions acquises pendant la formation.

Me Willy Nguele, président de l’Association des étudiants du Barreau, tempère quelque peu les choses affirmant qu’on assiste chaque année à de tels mouvements de contestation des étudiants qui, le plus souvent, finissent par retirer leur plainte lorsqu’ils sont finalement reçus à l’examen…

Lien vers l’article sur le site www.droit-inc.com

Par : Céline Gobert | Le : 2016-06-14 15h00

Les étudiants de l’École du Barreau en colère !

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